Novembre. L’été est à 1000 kilomètres derrière. Little a déjà oublié les champs de tabac et la sève qui collait sur son torse et ses bras nus. La route le jette à Poitiers. Sur le parvis de la gare, il erre avec Petit Chien en attendant Bitch, qui roule des pelles à Julie. Il finit par s’asseoir sur un banc à côté d’un Kanak emmitouflé dans un anorak militaire et un keffieh. Dialogue de rue.
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samedi 15 novembre 2008
LE FILS DE MON CHIEN
Par Gabrielle Culand le samedi 15 novembre 2008, 01:47 - dialogues - un commentaire - aucun rétrolien